Découvrez les secrets d'un pays qui se veut si discret...
. Des chefs révolutionnaires se cachant pendant que le petit peuple se battait.
. Un premier roi qu'on ne choisit pas et qui regretta toujours d'avoir accepté le trône.
. Un clergé à l'origine de la rupture entre Belges.
. Un second souverain considéré comme un tyran sanguinaire.
. À chaque conflit, des soldats belges mal préparés envoyés à la mort par bêtise.
. Des décès inexpliqués alors qu'ils concernent aussi bien des hommes politiques qu'un de nos rois.
. Des actes de terrorisme impunis.
. Comme à Palerme ou à Marseille, un journaliste et un vétérinaire assassinés pour une enquête...
Vous verrez, à la lecture de ces pages, que nombre d'événements qui jalonnent le passé des Belges mettent à mal l'image d'Épinal d'un pays que l'on présente toujours comme profondément paisible. Pendant des années, nous avons ignoré, ou feint d'ignorer, que ce pays au ciel si gris pouvait aussi cacher de si sombres histoires.
Le premier livre qui rassemble, pour un large public, les principaux faits qui, depuis 1830, font tache dans l'Histoire du Royaume de Belgique
A PROPOS DE L'AUTEUR :
Alain Libert, ancien professeur d'Histoire, nous livre ici un travail de plusieurs années et la compilation de centaines d'heures de lecture de documents de toutes origines.
EXTRAIT :
J'ai la chance de vivre dans un petit pays merveilleux où règne la démocratie ! Cette démocratie dont Winston Churchill disait qu'elle est le pire des régimes, à l'exception de tous les autres.
Notre planète, sous bien des aspects, est superbe et les gens y sont majoritairement gentils. Partout, j'ai rencontré des personnes intéressantes et appris beaucoup à leur contact.
Où que j'aille, j'ai toujours aimé revenir goûter à nos étés pluvieux, à la brume de l'automne sur les Fagnes. Quel que soit le plat que j'aie dégusté, j'ai toujours adoré rentrer pour manger un de nos délicieux « boulets-frites » agrémentés d'une de nos bières. J'ai adoré des villes un peu partout, mais rien ne vaut une promenade sur les bords de la Meuse, que ce soit à Liège ou à Namur, déambuler sur la Grand-Place le soir, ou encore avancer en se faisant fouetter par le vent de la digue à Ostende.
Et puis, quelle fierté, depuis que je suis tout petit, de moucher nos voisins français en leur rappelant que le métro comme le moteur à explosion ou les jardins de Versailles n'existent que grâce à nous. Quel plaisir de leur rappeler que le plus grand chanteur dans la langue qui est la leur (selon certains nous parlerions mal), est de chez nous et est né à Schaerbeek, un nom imprononçable pour eux. Et que même Johnny ou encore la reine Christine, c'est tout pareil, c'est de chez nous, comme Poelvoorde, Geluck, Merckx, Brueghel. Avec des noms comme ça, d'où voulez-vous qu'ils fussent aussi ?
Klappentext
No battle has generated more myths or more conflicting analyses than that of Waterloo
How worried were they in Brussels, dancing at the Duchess of Richmond's ball? What was Grouchy up to when he was needed? Was the French cavalry destroyed by a sunken road? Was the victory due to Napoleon's state of health on the day of the battle? Was he misled by a local guide? Was a French general murdered after being taken prisoner? Should we really see the battle as a German victory? What did Cambronne say (and can it be printed)?
Then come the issues about the aftermath - What happened to Napoleon's treasures - and his famous hat? Who cut down Wellington's tree? Were local people compensated for the damage to their livelihoods? How did battlefield tourism develop? And how did Lord Uxbridge's amputated leg become a diplomatic issue?
This book, written on the occasion of the Bicentenary, scrutinises these and other legends and stories with the aim of distinguishing the true from the false
ABOUT THE AUTHOR
The author, Yves Vander Cruysen, has spent 15 years of study on and around the battlefield. He is also the councillor in the commune of Waterloo responsible for culture and tourism. His detailed local knowledge, besides his profound historical research, affords new perspectives and unique insights into many of these issues.
EXCERPT
Waterloo has often been the scene of conflicts. Simply because, over the centuries, armies defending or threatening Brussels had equal interest in securing the position of Waterloo, which guaranteed control of the Forest of Soignes which encircled the capital. Waterloo was also served by a paved road, much prized by armies. It thus became a real cornerstone for military strategists.
Since 1698, this small town, which was then only one of the villages which made up Braine l'Alleud, has thus been occupied by various passing troops; with all that this may represent in theway of damage and sacrifices for local people.