Jean-Louis Major a fait carrière à l'Université d'Ottawa et il a été directeur du Corpus d'éditions critiques (un projet de recherche interuniversitaire : 16 institutions participantes) et de la Bibliothèque du Nouveau Monde (55 volumes parus aux Presses de l'Université de Montréal). Il a publié une quinzaine d'ouvrages, dont deux recueils de contes (Mailles à l'envers et Contes par-ci par-là) et un recueil de fables (Antifables).
Klappentext
Contes inactuels, ce sont 10 contes et un intermède qui promènent un regard désinvolte sur le monde d'aujourd'hui aussi bien que sur celui d'hier. « La bonne société, quand elle se donne des airs de vertu - et la mauvaise compagnie tout autant -, engendre le vice à coup sûr. Et de la pire espèce », dit l'avertissement en tête du recueil. Les trois premiers contes, Conteurs brevetés, Un honnête contribuable et Monnaie de singe, s'aventurent dans un univers que reconnaîtra d'emblée quiconque un jour a mis le doigt dans l'engrenage de l'État. Le dernier, intitulé Le pape du lac Saint-François, est dans la même veine. En fait, ce sont des contes philosophiques - en aucune façon moralisateurs - dignes de la morale cynique. Mais, prévient l'auteur, « Tout conte qui se prétend philosophique doit s'attendre à ce qu'on le mette en quarantaine, à tout le moins, ou qu'on lui tire dessus ». Des contes d'esprit voltairien, à l'écriture alerte et à l'humour incisif.
Zusammenfassung
Contes inactuels, ce sont 10 contes et un intermède qui promènent unregard désinvolte sur le monde d'aujourd'hui aussi bien que sur celuid'hier. « La bonne société, quand elle se donne des airs de vertu - et lamauvaise compagnie tout autant -, engendre le vice à coup sûr. Et dela pire espèce », dit l'avertissement en tête du recueil. Les trois premierscontes, Conteurs brevetés, Un honnête contribuable et Monnaie de singe,s'aventurent dans un univers que reconnaîtra d'emblée quiconque un joura mis le doigt dans l'engrenage de l'État. Le dernier, intitulé Le pape dulac Saint-François, est dans la même veine. En fait, ce sont des contesphilosophiques - en aucune façon moralisateurs - dignes de la moralecynique. Mais, prévient l'auteur, « Tout conte qui se prétend philosophiquedoit s'attendre à ce qu'on le mette en quarantaine, à tout le moins, ou qu'onlui tire dessus ».Des contes d'esprit voltairien, à l'écriture alerte et à l'humour incisif.